Articles de presse

Le Dauphiné Libéré, 19 octobre 2023 – 1er Concert / Ciné Concert Tournée promotionnelle de la sortie du nouvel album double-CD : Love is Light, Light is Love.

« Rien de tel que l’écoute en direct pour capter toute l’intensité dramatique de l’écriture musicale de ce jeune compositeur… La musique de Jean-Philippe Isoletta est puissante, riche et lancinante… »

Dauphiné Libéré, mars 2013

« Murnau / Jean-Philippe Isoletta – Les poètes de l’image et du son (…) »

« Aux scènes oniriques filmées par Murnau en 1922 (quel beau cauchemar!) vient s’ajouter la poésie rêvée du pianiste Jean-Philippe Isoletta accompagnant en direct les aventures nocturnes de Nosferatu le vampire. »

Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, 30 septembre 2011.

« C’est du film classique Dr. Jeckyll & Mr. Hyde que Jean-Philippe Isoletta s’est inspiré pour composer une cinquantaine de « tableaux » correspondant au découpage du scénario (…) »

« Jouant souvent dans le registre grave avec une main gauche puissante, (…) rendant à merveille l’atmosphère oppressante du film, Jean-Philippe a réussi malgré tout à ne jamais détourner le public de la vision du film. » 

Le Dauphiné Libéré, 18 novembre 2009

« Dans cette performance, il s’agit pour le pianiste d’écrire une musique qui va enrichir les propos des images. Sur des créations issues du répertoire classique romantique et post-romantique (XIXe et début XXe), l’artiste apporte une touche personnelle plus moderne, générée par sa large culture musicale. »

Le Petit Bulletin – Février 2009

« Sur de magnifiques compositions (…), Jean-Philippe Isoletta a passionné l’assistance en illustrant le film par un récital. » » (…) Un succès qui a mis en exergue le talent d’un grand compositeur. »

Le Dauphiné Libéré, janvier 2008

« (…) Mais la grande réussie de cet album est d’amener à pas de velours l’auditeur aux compositions de l’interprète : son univers se situe, sans offenser ce grand admirateur de Chopin ou de Brahms, comme une réponse de la fin du XXème siècle (ou le début du XXIème?) aux compositeurs de la fin du XIXème. Les options rythmiques, latines ou répétitives, l’ouverture transgenre d’un piano orchestre et volubile laissent à penser que le monde de Jean-Philippe Isoletta ne s’arrête pas à la culture classique. »

Le Petit Bulletin, novembre 2004

« Cette cérémonie sera suivie à 19h30 du premier des Ciné Concerts (d’une série de quatre) où des films muets seront accompagnés par des pianistes grenoblois, Jean-Philippe Isoletta qui s’est fait une spécialité de ce genre de performance ; le thème de l’Expressionnisme allemand trouve dans le film de Murnau Nosferatu Le vampire (1922) une illustration étrange et dérangeante… »

« L’invitation au voyage…. »

Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné – Septembre 2011

« Jean-Philippe Isoletta de Saint Hilaire du Touvet, pianiste primé dés l’âge de 7ans, vient  à 34 ans, d’auto produire son  premier CD. De suite remarqué par le label indépendant Loreley EPI Diffusion, pour ses compositions de musique classique contemporaines, le virtuose aguerri d’aujourd’hui a conservé son enthousiasme d’hier. »

Le Dauphiné Libéré – Novembre 2004

“Le mécano de la Générale” est le premier d’une série de huit films que j’ai mis en musique, c’est aussi celui avec lequel je suis le plus à l’aise pour improviser, explique le musicien. Mon but c’est faire corps avec l’image, la musique remplace la parole, elle accompagne le film dans l’action, les caractères des personnages et les émotions nées du scénario. Pour moi c’est un langage universel : on parle sans rien imposer. »

Le Dauphiné Libéré – décembre 2019

« Le temps d’une longue respiration est donné à Jean-Philippe Isoletta, brillant pianiste, pour exprimer son talent avec la Fantaisie en Ré mineur K 397 de Wolfgang Amadeus Mozart, et surtout « Le mécano de la Générale » version concert opus n° 3, oeuvre créée par lui-mêm en 2003 à Grenoble pour illustrer le film muet de Buster Keaton « Le mécano de la Générale (1922). Une grande maîtrise des registres et une richesse profonde d’expression ont enchanté les auditeurs. »

Le Dauphiné Libéré – Juillet 2004